Normal

Julie Delarme

Julie Delarme déploie sa carrière à la fois au cinéma au théâtre et à la télévision, abordant ainsi des registres différents et contrastés lui permettant de révéler son talent aussi bien dans la tragédie que dans la comédie. Au cinéma elle travaille entre autres avec G. Nicloux, Raoul Ruiz, Ildiko Enyedi, N.Bedos, C.Carion. à la télévision elle collaborera à plusieurs reprises avec P. Boutron ( le silence de la mer, l’affaire Dominici,Mlle Else, Landru) ou dans des registres plus contemporains avec notamment la série Caïn dans laquelle elle tient le rôle principal féminin ou encore dans « moi grosse » de M.Magellan. Au théâtre elle s’illustre aussi bien chez les auteurs classiques Tchekhov, Marivaux, Strindberg, Garcia Lorca, Beaumarchais, Audiberti qu’auprès d’auteurs contemporains, Hanif Kureishi, Neil Labute,MM Bouchard,E.Chevillard, ou O.Bourdeaut avec le succès « En attendant Bojangles ». On la retrouve actuellement à l’affiche de « l’amour chez les autres » d’A. Ayckbourn au théâtre Edouard VII dans une mise en scène de L.Chollat Elle est récompensée par plusieurs prix d’interprétation ( festival de La Rochelle,Genève, Téhéran) obtient une nomination aux Molières ainsi que le prix Jean Jacques Gautier Normal de Jane Anderson est sa première mise en scène, en création à la Scala au festival d’Avignon 2024.

Lionel Abelanski

Elève du Cours Florent, Lionel Abelanski débute au théâtre sous la direction de Gilles Cohen (« Un mouton à l’entresol », « le mystère de la chambre jaune » et « Les petits marteaux »). Jean- Luc Revol (« Le plus heureux des trois »), Jean-Louis Martinelli

(« Germania 3 »), Benno Besson (« Quisaitout et Grobeta » de Coline Serreau) lui emboîteront le pas, ainsi que Jean-Michel Ribes dans « Le théâtre sans animaux ».

Ces dernières années ce sont Edouard Baer (« Miam miam », « …A la française »), Ladislas Chollat (« Pleins feux »), Marc Paquien (« Les voisins »), Pierre Laville (« Bash »), Guilla Braoudé (« Les insatiables »), Caroline Duffau et Serge Hazanavicius (« Géronimo »), Thierry Lavat (« La méthode Gröholm ») Bernard Murat («  »Un dîner d’adieu », « Du vent dans les branches de Sassafras », « La récompense » et « Encore un instant ») Kad Merad (« Amis ») et Wajdi Mouawad qui le dirigent dans des œuvres aussi diverses que variées, permettant à ce comédien de montrer toute l’étendue de son talent.

Au cinéma, il est nommé pour le césar du meilleur espoir masculin en 1999 pour sa magnifique interprétation dans « Train de vie » de Radu Mihaileanu, qu’il retrouvera quelques années plus tard dans « Le concert ». Il collabore entre autre avec Dominique Farrugia, Alain Chabat, Olivier Nakache et Eric Toledano, Thomas Lilti, Michel Hazanavicius, Jean-Paul Salomé, Eric Lavaine, Diane Kurys, Olivier Barroux il a également tourné à l’étranger sous la direction de Joe Wright dans « Reviens-moi » et de Woody Allen dans («Magic in the moonlight »)

Vincent Deniard

Vincent Deniard est comédien depuis près de vingt ans.

Au cinéma on a pu voir sa stature imposante dans des films signés entre autres Pierre Schoeller, Antony Cordier ou Nicolas Pariser.

Au théâtre il collabore avec Alain Sachs, Stéphane Hillel ou Hélène Vincent. Il joue plus de 800 fois dans le célèbre Porteur d’Histoire d’Alexis Michalik. Vincent Deniard a reçu en 2021 le prix d’interprétation masculine pour sa partition puissante et sensible dans le rôle principal du film «Qu’est-ce qu’on va faire de Jacques? » réalisé par Marie Garel-Weiss.

Avec Normal, c’est la deuxième fois qu’il retrouve l’autrice Américaine Jane Anderson: en 2018 au Théâtre de l’Atelier aux côtés d’Isabelle Carré il était Al, rustre au grand cœur, dans la pièce Baby -rôle qui lui valut cette année-là une nomination aux Molières.

Colombe Ducrot

Après trois années de formation théâtrale au sein du cours Florent, Colombe Ducrot participe en 2022 au Prix Olga Horstig mit en scene par Julien Kosellek. Par la suite, elle continue son parcours au Conservatoire Camille Saint Saëns du 8ème arrondissement de Paris avec Agnès Adam, tout en tournant pour la télévision. Elle a également travaillé sur le festival Paris des Femmes au Theatre des Mathurins, mit en scene par Benjamin Guillard.

Jérémy Gillet

Jérémy Gillet s’installe à Paris à 17 ans et se fait rapidement remarquer dans la série Mytho (Arte|Netflix), doublement récompensée à Séries Mania. Le comédien Belge enchaîne rapidement les tournages en parallèle de la Classe Libre du Cours Florent, où il s’adonne au théâtre : il participe aux Talents Adami Cinéma, joue dans le film Arrête avec tes Mensonges d’Olivier Peyon et tient le rôle-titre de la série Canal+ Des Gens Bien Ordinaires (Meilleure Série Courte aux International Emmy Awards 2023), réalisée par Ovidie et dont la saison 2 sortira courant 2024.

Également cette année, il est Louis XIII dans la série Une Amitié Dangereuse d’Alain Tasma (en compétition à Séries Mania). Ses premiers pas sur les planches seront dans Normal, mis en scène par Julie Delarme.

Guilaine Londez

C’est en passant son premier casting que Guilaine Londez est choisie pour le rôle principal féminin du film de Chantal Ackerman « Nuit et jour. » Elle tournera ensuite pour le cinéma avec des réalisateurs tels que Etienne Chatiliez (Le bonheur est dans le pré), Hélène Angel (Peau d’homme cœur de bête, Primaire, etc…) Bruno Podalydes (Liberté-Oléron), Zabou Breitman (Se souvenir des belles choses), Edouard Baer (Ouvert la nuit), Valeria Bruni-Tedeschi (Les estivants)… Sa carrière se déploie également au théâtre où elle travaille avec Virginie Lemoine ( suite française) Jean-Philippe Daguerre, (Paroles de Prévert, Clérambard), Zabou Breitman (L’hiver sous la table), Edouard Baer (À la française), ou encore Stéphane Valensi ( Maman revient, pauvre orphelin). On la voit également régulièrement à la télévision : Icon of french cinema, Les bracelets rouges, les rivières pourpres, Paris etc, Dressing…

Jean-Yves Roan

Jean-Yves Roan est un comédien élevé au Théâtre du Peuple de Bussang qui porte son fronton : « Par l’Art, pour l’Humanité ».

La phrase n’est pas humble mais elle constitue le socle de ses croyances.

Plus souvent dans des histoires qui font rire plutôt que pleurer c’est Jean-Luc Moreau qui le fera d’abord jouer Pierrot dans « Dom Juan » de Molière et l’emploiera souvent.

Ensuite les grands écarts: Gildas Bourdet l’emmène à Chaillot dans « La main passe » de Feydeau ou à Marigny dans « Les uns chez les autres » de Alan Ayckbourn. Et Sotha l’utilise plusieurs fois au Café de la Gare.

Il côtoie Jean Marais grâce à Jean-Luc Revol et « la Tempête » de Shakespeare, Jean-Paul Roussillon grâce encore à Gildas Bourdet dans « Le jardin des apparences » de Véronique Olmi.

Souvent employé par Ladislas Chollat, il incarne, dans « L’heureux stratagème » de Marivaux au théâtre Edouard VII, ou dans « la Souricière » d’Agatha Christie, des personnages étranges avec accent particulier et humanité singulière.

Long parcours sur la scène plutôt qu’à l’écran donc pour Jean-Yves qui a eu le privilège de tourner dans quatre films de Bertrand Tavernier, dont « Capitaine Conan » et de participer à « Nos jours heureux » d’olivier Nackache et Eric Toledano, (film obligatoirement projeté dans toutes les colonies de vacances).

Yaël Tama

Yaël Tama travaille depuis une vingtaine d’années dans le spectacle vivant, tour à tour comédienne (théâtre classique et contemporain, seule en scène), auteure ou co-auteure (théâtre, chanson, conte), metteur en scène et pédagogue (avec toutes les générations) en France et à l’étranger (Allemagne, Israël, U.S.A.). Ses créations sont souvent multilingues (yiddish, hébreu, anglais, russe) et transdisciplinaires (elle collabore à plusieurs spectacles musicaux et cabarets), notamment avec la compagnie Lés Haïm ainsi qu’au sein du Collectif Tribu où elle co-met en scène et joue la Trilogie écrite par Nicolas Boualami, en France et à l’étranger. Ils collaborent également avec l’artiste Romain Brau et développent des œuvres cinématographiques.

Yaël Tama travaille à la création de spectacles dans des lieux d’exceptions (Maison Victor Hugo, Eglise de St-Emilion, Ville de Weimar, etc.). Elle œuvre avec l’interdisciplinarité et construit des ponts entre les générations au cours d’ateliers réguliers.

Yaël écrit et accompagne les créations de compagnie de danse IN-SENSO. Yaël œuvre à la création livre-disque sur les différentes familles d’aujourd’hui Sa structure Yata productions lui permet de développer d’écriture jeune public et de continuer à collaborer à l’écriture ou la mise en scène d’histoires sur scène et hors les murs, avec la voix parlée et chantée !